sans discrimination

La grossophobie n'est pas la peur des gens gros, c'est une aversion à l'égard des personnes en surpoids. À noter que l'expression « gros » est paradoxalement très usitée chez les plus jeunes pour qualifier leurs contemporains.

Comme dirait Kevin notre stagiaire en révolte contre les discriminations :
« T'es chez Corpo, Gros,
alors respect pour les gens gros ! ».

L’orientation sexuelle, l’identité et l’expression de genre peuvent être fluides. Comme les autres sphères de votre identité, elles peuvent changer, évoluer au cours de votre vie.

Comme dirait Blaise (qui s’appelait Jennifer avant), développeur dans une start-up : « Arrête de stigmatiser, mec, parce qu’un jour, tu peux devenir ce dont tu te moques  ! ».

La notion d’entre-soi désigne le regroupement de personnes aux caractéristiques communes, que ce soit dans un quartier, une assemblée politique, ou encore en entreprise. Elle sous-entend l’exclusion, plus ou moins active et consciente, des autres.

Comme dirait Jean-Hubert de Lamorlette, analyste financier en open space : « Il faut savoir rester humble, même avec ceux qui n’ont pas de résidence secondaire ! ! ».

Cette discrimination plus ou moins directe, ou plus ou moins consciente porte préjudice à l’évolution des carrières des salariés concernés, considérés comme moins compétents que leurs collègues.

Comme dirait Édouard Leblanc CEO chez Sogetruc : « Le CODIR est ouvert à tous… à condition d’appartenir à la race des gagnants ».

La discrimination raciale est toute discrimination à l’encontre d’un individu sur la base de sa couleur de peau, de sa race ou de son origine ethnique.

Comme dirait Jordan Marsala, DRH « au Béret Hexagonal » : « Nous privilégions les compétences en prenant soin d’éliminer les candidats risquant de nous en faire voir de toutes les couleurs et les CV pas blancs bleus ».

Blagues lourdingues, remise en cause de la capacité d’une femme à manager une équipe, plafond de verre : autant de manifestations du sexisme encore prégnant au travail.

Plus de 8 femmes sur 10 déclarent avoir été un jour confrontées à une situation de sexisme dans le cadre de leur activité professionnelle.

Comme dirait, Anaïs des services généraux : « La question n’est pas de savoir s’il y a un plafond de verre mais qui va le nettoyer ».